Afin de préserver la musique tunisienne et valoriser notre patrimoine national, il est impératif que les événements culturels ne soient pas sporadiques. De plus, les institutions culturelles en difficulté financière, telles que la Rachidia, doivent recevoir des subventions de l’Etat qui devraient être améliorées pour faciliter la gestion de leurs activités. En outre, les espaces culturels, y compris ceux de la Cité de la culture, devraient encourager les clubs de chant engagés dans la préservation de notre héritage musical authentique, en proposant des prix abordables. Cela contribuerait à protéger notre patrimoine contre toute forme de disparition.